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dimanche 13 octobre 2013

Tulcan

Tulcan

On se réveil tranquillement, aujourd'hui nous allons visiter les jardins du cimetière de Tulcan.

Je rejoins Do pour prendre mon petit déjeuner, mais aujourd’hui la journée commence mal il oubli de préparer ma commande il faut m'y reprendre à trois fois et attendre une heure pour avoir mon petit déjeuner. 

On est déjà en retard sur notre programme chargé, de plus le cimetière est plus grand que prévu mais il y a plein de sculptures différentes, sculpté dans les arbres.

Il y a des sculptures en forme d'animaux, statues précolombiennes et tout est taillé à la main.

Comme nous sommes vraiment en retard sur notre programme nous décidons d'annuler la visite de la mitad del mundo et de visiter la ville de Tulcan puis de rentrer tranquillement sur Quito.


Après la visite de la ville nous retournons au terminal de bus pour rentrer sur Quito, au même endroit que l'autre fois contrôle de papier de tous les passagers, Do montre sa photocopie de son passeport mais le flic est sceptique et demande à son collègue si c'est légale, ils décident d'emmener Do au poste frontière pour voir si il est en règle, je l'accompagne pour lui traduire.

Nous partons dans leur voiture jusqu'à la frontière ou ils nous mettent dans une petite salle avec des policiers en attendant la vérification.

Le chef de la police essaye de faire peur à Do en disant que s’il n'est pas en règle il va dormir en prison.
Do se marre en se moquant un peu de lui avec son espagnol très mauvais ça ne lui plait pas, quand les autre reviennent pour dire que c'est bon le chef décide que la photocopie est illisible, et décidé de mettre Do en garde à vue et lui lise ses droits maintenant il me disent de ramener le passeport de Do pour qu'il puisse être libérer(il y a 5 heures pour aller jusqu'à Quito), donc Do devra passer la nuit en prison en attendant il a le droit à un avocat et un coup de fil. 

On prend le coup de fil pour appeler l'ambassade de France en équateur là le flic me passe un téléphone et dit que on a trente seconde de communication pas plus. Heureusement, j'ai le mien !

Je l'appelle aussitôt lui explique la situation et lui passe le chef de la police qui donne une autre version à l'ambassadeur en disant qu'ils nous ont arrêté en traversant la frontière, mais on à notre billet de bus avec nous prouvant le contraire.


Après deux heure de garde à vue ils apprennent que de se balader avec une photocopie est légal et voyant Do toujours en train de raconter n'importe quoi, propose même de se raser pour qu'ils puissent le reconnaître sur la photo.

Ils décident de nous relâcher. Nous n'avons pas de photo des policiers car ils ont déclinés poser avec nous pour le blog!

Nous leur demandons de nous déposer ou ils nous ont arrêté mais ils refusent, nous devons retourner au terminal de bus pour reprendre celui de Quito.

Après dix minutes de bus, on se refait contrôler au même point de contrôle, cette fois si il nous fouillerons nos sac à la recherche de drogue, puis nous demande les passeport, obligé de leur expliquer que on a déjà été contrôlé et de leur montrer les papiers de notre précédant contrôle pour qu’il n’exige pas le passeport de Donatien et accepte sa photocopie.


A suivre…

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